Boa Vista est la troisième plus grande île de l’archipel du Cap-Vert.
L’histoire raconte qu’après des jours de tempête, un marin de la caravelle d'Antonio de Noli s’écria en apercevant une nouvelle île : "Boa Vista !" (Belle Vision). L’île de Saint-Christophe sera finalement rebaptisée Boa Vista.
Son relief plat et ses dunes façonnées par le vent lui ont valu le nom d'île aux dunes.
On dit que le paysage de Boa Vista est un paysage minéral (et moi j'adore les paysages minéraux), avec de grandes dunes de sables et une mer d'un bleu caraïbe bordée par des plages au sable fin et nacré. Ouahou, je crois que je vais aimer...
Comme Yann n'a que cet après-midi à passer sur l'île de Boa Vista, il fallait faire vite si on voulait arriver à trouver une voiture et un chauffeur pour faire le tour de l'île. Lui, il avait eu un contact pour cela, mais le deal était pour hier, le jour où on n'a pas pu arriver, et son contact eh bien il n'était pas libre aujourd'hui.
Alors on a demandé à Marilena si elle pouvait nous trouver quelqu'un. Il y avait d'affiché dans la guesthouse un panneau, mais nous, on n'a qu'1/2 journée, et on n'est que deux.
Marilena a aussitôt téléphoné, et nous a trouvé un chauffeur pour 14h 00. 20 € chacun pour la demi-journée, en ayant un peu insisté sur le prix. C'est Yann qui avait fait le programme : l'épave du Santa Maria + le désert de Viana.
L’histoire raconte qu’après des jours de tempête, un marin de la caravelle d'Antonio de Noli s’écria en apercevant une nouvelle île : "Boa Vista !" (Belle Vision). L’île de Saint-Christophe sera finalement rebaptisée Boa Vista.
Son relief plat et ses dunes façonnées par le vent lui ont valu le nom d'île aux dunes.
On dit que le paysage de Boa Vista est un paysage minéral (et moi j'adore les paysages minéraux), avec de grandes dunes de sables et une mer d'un bleu caraïbe bordée par des plages au sable fin et nacré. Ouahou, je crois que je vais aimer...
Comme Yann n'a que cet après-midi à passer sur l'île de Boa Vista, il fallait faire vite si on voulait arriver à trouver une voiture et un chauffeur pour faire le tour de l'île. Lui, il avait eu un contact pour cela, mais le deal était pour hier, le jour où on n'a pas pu arriver, et son contact eh bien il n'était pas libre aujourd'hui.
Alors on a demandé à Marilena si elle pouvait nous trouver quelqu'un. Il y avait d'affiché dans la guesthouse un panneau, mais nous, on n'a qu'1/2 journée, et on n'est que deux.
Marilena a aussitôt téléphoné, et nous a trouvé un chauffeur pour 14h 00. 20 € chacun pour la demi-journée, en ayant un peu insisté sur le prix. C'est Yann qui avait fait le programme : l'épave du Santa Maria + le désert de Viana.
Moi, il a fallu que je m'installe, et ensuite je n'avais pas le temps d'aller dans un restaurant. Et j'avais faim ! Alors j'ai demandé où il y avait un supermarché. Pas loin, au bord de la grande place.
Et je me suis achetée de l'eau, (pas de bière, il n'y a pas de frigo), du fromage, et un concombre (qui n'était pas bon, vieux). C'est tout ce que j'ai pu manger.
A 14 hres j'étais prête, en bas. Mais pas de taxi. Personne dans la guesthouse. Je m'inquiète. Yann arrive. C'est prévu à 14h 15 me dit-il, pas à 14 hres. Lui avait pris le temps de bien déjeuner. Au Café del Porto, me dit-il, sur le port, vue sur la mer...
Et puis le Capverdien qui travaille avec Marilena est passé. Il a téléphoné. Bon, le chauffeur est arrivé.
On ne va pas bien loin en fait, mais il faut un 4x4. On accède au site par une vieille route construite par les portugais qui se transforme en piste de plus en plus mauvaise. Très vite en cours de route le chauffeur il a mis les rues motrices. Car on se trouve vite dans... cette piste en pointillé que l'on voit sur cette carte allant vers "Cabo Santa Maria".
Et puis le Capverdien qui travaille avec Marilena est passé. Il a téléphoné. Bon, le chauffeur est arrivé.
Regardez comme le vent souffle
Des palmiers surprenants.
Cabo De Santa Maria


La Praia de Atalanta est la plage où se trouve l'épave du cargo espagnol Santa Maria, qui s'est échoué le 1er septembre 1968. On est sur la côte nord de Boa Vista, à environ 6 km au nord-est de la capitale Sal Rei, et à 3 km à l'ouest de Vigía. La plage fait partie de la réserve naturelle de Boa Esperança, qui comprend également les plages de Sobrado et de Copinha.
Le 1er septembre 1968, un cargo espagnol, le Cabo de Santa Maria, sur son chemin vers le Brésil, s'est échoué sur la côte de Boa Esperança au nord de Boa Vista. Quelques heures seulement après le naufrage, la bateau de marchandises était entièrement pillé alors que l’équipage, indemne, quittait rapidement l’île.
On raconte que les insulaires de Boa Vista avaient coutume d’attacher des lanternes à la queue des ânes et de les faire se promener sur les rivages bordés de récifs. L’échouage des navires apportait aux populations démunies une manne inespérée.
L’épave est repérable de loin et l’approche par la plage est superbe.


"Un tas de rouille éventré par les violentes vagues de l’océan atlantique"…







Le vent est très fort.





La Praia de Atalanta est la plage où se trouve l'épave du cargo espagnol Santa Maria, qui s'est échoué le 1er septembre 1968. On est sur la côte nord de Boa Vista, à environ 6 km au nord-est de la capitale Sal Rei, et à 3 km à l'ouest de Vigía. La plage fait partie de la réserve naturelle de Boa Esperança, qui comprend également les plages de Sobrado et de Copinha.
Les habitants de Boa Vista parlent de phénomènes inexpliqués qui produiraient une étrange démagnétisation des instruments de navigation aux abords de l’île.
Au cours des siècles, des dizaines de bâtiments ont rencontré de vrais problèmes sur les côtes nord.
Mais les études scientifiques n’ont relevé aucun phénomène probant. Le mystère est en fait la résultante de plusieurs facteurs : l’utilisation de cartes insuffisamment détaillées à l’époque, la présence de forts courants et d’un vent assez violent en hiver.
Mais les études scientifiques n’ont relevé aucun phénomène probant. Le mystère est en fait la résultante de plusieurs facteurs : l’utilisation de cartes insuffisamment détaillées à l’époque, la présence de forts courants et d’un vent assez violent en hiver.
On raconte que les insulaires de Boa Vista avaient coutume d’attacher des lanternes à la queue des ânes et de les faire se promener sur les rivages bordés de récifs. L’échouage des navires apportait aux populations démunies une manne inespérée.
L’épave est repérable de loin et l’approche par la plage est superbe.
Le lieu offre un spectacle saisissant : une structure métallique penchée sur son flanc et assaillie par les flots au milieu de nulle part.


"Un tas de rouille éventré par les violentes vagues de l’océan atlantique"…



La carcasse du navire est aujourd'hui devenue un symbole de Boa Vista et du pays.
Il flotte comme une ambiance mystérieuse. La vue est splendide.





Le vent est très fort.


L’épave s'est dégradée au fur et à mesure des années mais le site offre un spectacle saisissant.
Le désert s'est avancé vers l’océan, aujourd’hui le bateau atteint quasiment la plage.


Le petit monticule pointu, c'est le point de repère que je m'étais fixée au début quand on a quitté la voiture pour retrouver mon chemin au milieu des dunes jusqu'à la voiture.
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